La rue de Bel-Air, reliant centre-ville et quartier d'Hilard, est étroite. Si étroite qu'il n'y a pas de place pour y réaliser un trottoir. Les piétons ne sont pas pour autant privés de protection. Car c'est dans cette artère lavalloise que l'on retrouve le plus de traces des ancêtres des trottoirs.
Le long de la rue, collés aux maisons, on les appelle des bornes-pierres. Ou alors des chasse-roues. Habitante d'Hilard, Dominique Guilleux explique à quoi servaient ces blocs gris. « Ils chassaient les roues des charettes. Ainsi, elles n'abîmaient pas les bâtiments. » En effet, ils remettaient dans le droit chemin les usagers de la route de l'époque dont la trajectoire avait quelque peu dévié.
La suite dans Le Courrier de la Mayenne du 24 novembre.
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