Il y a sept ans, Laurette Josserand vit dans l'Ain avec son époux et leurs six enfants. Elle décide de recourir à la contraception définitive. « J'ai fait le choix d'une contraception non hormonale. Sur les conseils de mon gynécologue, j'ai accepté la pose d'implants tubaires Essure®. C'est une intervention légère et non mutilatrice. L'opération est rapide. On pose les implants (des stents de 4cm dans les trompes de Fallope), on ressort de l'hôpital et le lendemain on reprend le travail », explique cette femme de 47 ans.
Deux ans plus tard, arrivée en Mayenne, Laurette voit sa santé se dégrader progressivement : une fatigue inexpliquée, puis des plaies sur le visage, des douleurs articulaires, des clignements d'oeil intempestifs, la perte du goût et de l'odorat. Les consultations de son médecin débouchent sur une impasse jusqu'en novembre 2016 où elle trouve sur internet l'existence de l'association RESIST alertant des dangers de la méthode contraceptive en raison de la présence de métaux lourds, notamment du nickel.
Lire la suite de ce témoignage dans Le Courrier de la Mayenne du 18 mai 2017.
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