Lundi, la jungle de Calais sera démantelée. Parmi les 7 000 exilés, une cinquantaine d’entre eux, originaires d'Afghanistan, d’Erythrée, du Soudan, d’Irak ou encore de Syrie, prendra la direction de Sainte-Suzanne où ils sont attendus dans la soirée par l’antenne mancelle de l’Adoma, une société d’économie mixte de spécialisée dans l’hébergement social. Lors du conseil municipal du 14 octobre dernier, le préfet Frédéric Veaux est venu expliquer aux élus et à la population suzannaise les raisons de la réquisition de l’ancienne maison de retraite. Leur arrivée s’effectue sur fonds de polémique entre le maire de Sainte-Suzanne et le président du conseil départemental à propos du choix de l’établissement qui avait fermé pour raisons de sécurité. De son côté, la communauté de communes des Coëvrons ne veut pas rester les mains dans les poches pour accompagner l’Adoma afin que ce séjour jusqu’au 31 mars s’effectue dans les meilleures conditions possibles, comme cela a été le cas l’an passé au VVF village vacances. Plus de détails dans le Courrier de la Mayenne du 20 octobre.
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