L'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) est à la recherche ce lundi 5 mai 2025 d'éléments qui pourraient permettre d'en savoir plus sur la disparition de Sophie Chéenne, il y a tout juste 29 ans.
Le 2 mai 1996, quelques jours avant son 21e anniversaire, la jeune femme aurait quitté son appartement après une dispute avec son ami. Lequel aurait annoncé son inquiétante disparition quelques jours plus tard. C'est devant cet appartement, quai Albert-Goupil, que la camionnette des investigateurs de l'IRCGN est stationnée.
A la recherche d'ossements
À l'aide d'appareils à rayonnement, les gendarmes scientifiques seraient à la recherche d'éléments, notamment d'ossements, dans le sous-sol de la cave.
Irrésolu, le dossier Sophie Chéenne avait été classé sans suite, puis rouvert en 2021, comme d'autres dossiers de disparitions de jeunes femmes, à la suite d'éléments découverts après le décès de Michel Fourniret, surnommé ''l'ogre des Ardennes''.
Si cette piste n'a rien donné en ce qui concerne la Lavalloise, un nouveau directeur d'enquête a été nommé pour ce dossier.
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