Zone des Touches, du Bourny ou des Alignés, des bâtiments industriels ou commerciaux sont vides actuellement sur Laval. A l'oeil, on a l'impression d'une augementation du nombre de friches sur la ville. Fausse impression selon les agents immobiliers et Laval développement. « Au contraire depuis mars, ça bouge. L'activité est bonne. On remplit pas mal de vide, même dans la zone des Touches », indique Simon André, responsable associé chez Zambon immobilier. A Laval développement, on note aussi « une augmentation des contacts pour des acquisitions foncières ». Les entreprises investissent, signe d'un redémarrage économique. Deux secteurs restent plus difficiles : l'axe Laval-Saint-Berthevin et les alentours de la zone des Bozées. Quant aux friches de longues dates, elles doivent « répondre à un besoin. Vu leurs grandeurs, la proximité de la ville, il n'est pas facile d'intéresser un industriel », reconnaît Régine Rivière, directrice de Laval développement. Malgré des bâtiments vides, d'autres zones sont viabilisées. « Si vous avez des maisons vides en centre-ville, vous ne pouvez pas obliger des personnes à s'y installer, si elles sont intéressées par la périphérie », souligne Régine Rivière.
Plus d'informations dans l'édition du 15 octobre du Courrier de la Mayenne.
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