Volley-ball. L'ASPTT Laval ambitieuse dès sa première saison en Nationale 2 : « Si on peut monter, on montera »

Comment abordez-vous cette saison dans une nouvelle division ?

On l'aborde comme l'année dernière. Chaque match sera une finale et on essayera d'aller chercher la victoire chaque week-end. On a fait un bon tournoi de préparation à Rennes où on a rencontré tous les centres de formation (Saint-Nazaire, Nantes et Rennes). On a joué samedi contre une équipe de notre poule et on a gagné. Le travail commence à payer, ça avance petit à petit.

Quels sont vos objectifs ?

Notre nouveau challenge est de jouer le haut de tableau. Si on peut monter, on montera. Si on est à quelques points de monter à quelques matchs de la fin du championnat, bien sûr qu'on ne va pas refuser de monter.

Qu'est-ce qui a changé à l'entraînement par rapport à la saison dernière ?

Le niveau d'exigence a augmenté, que ce soit de ma part ou de la part de certains joueurs. Beaucoup sont moins tolérants sur certains aspects offensifs ou défensifs. Que ce soit sur la gestion des fautes, de la frustration... L'aspect physique change aussi. Cette année, on a recruté pour agrandir le bloc. Beaucoup de choses ont été améliorées, il faut réussir à faire un puzzle avec tout ça. Tous les gars sont conscients qu'il y a un autre aspect en termes de compétitivité pour cette nouvelle saison. Ce qui a été dur, même si les gars ont répondu présents, c'est de passer de l'année dernière où on a survolé le championnat à cette nouvelle saison.

Pouvez-vous présenter les deux recrues ?

On a recruté Timoté Lubbers qui fait 1m93 et joue au poste de central. C'est un ancien pompier de Paris donc physiquement, il est vraiment costaud. Il est passé par un pôle espoir mais avait arrêté un peu sa carrière. Ake Nau jouait, lui, à Brive qui a terminé 2^e de Nationale 2 la saison dernière. Il va apporter de l'expérience au niveau du jeu, dans la manière d'aborder les matchs et aussi sur la régularité. Il évolue au poste de pointu.

ASPTT Laval - Harnes : ce dimanche 1er octobre (15h) à la salle Noémie Hamard.