« Quand je lis que l’on a fait la fiesta toute la nuit le 17 août, c’est mensonger », relate-t-il. Dès le lendemain, les policiers sont venus faire signer l’arrêté préfectoral signifiant la fermeture administrative de l’établissement.
Stéphane Couillet réfute également les fermetures tardives de son établissement. « Depuis janvier et la première fermeture administrative, j’ai toujours fermé à une heure du matin. » Le non-respect des horaires, c’est pourtant ce qui a motivé la décision préfectorale, tout comme le tapage nocturne. « Mais qu’est ce qu’on appelle tapage nocturne ? C’est le fait d’entendre mes clients sur la terrasse ? Je ne vais quand même pas leur mettre un scotch. La terrasse restera toujours où elle est, les voisins dormiront toujours où ils dorment. Comment on va faire à la réouverture ? »
Le gérant récuse également les témoignages sur les incivilités ou les saletés qui jonchent la rue.
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