« Ça m’a mangé le cerveau, assure un toxicomane sous traitement. On est tellement pas bien quand on n’a pas sa dose qu’on cherche juste à aller mieux. Alors tout mon argent allait là-dedans. Je n’ai pas mis un sou de côté à cause de ça. »
Suite aux derniers démantèlements de réseaux de drogues dures sur le nord du département, nous avons cherché à expliquer pourquoi ce phénomène semblerait plus implanté au nord de Laval. Entretien avec le Procureur de la République, témoignages de toxicomanes, installation du groupe de paroles des Narcotiques anonymes, soins...
Retrouvez notre dossier dans Le Courrier de la Mayenne, paru ce jeudi 12 avril.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.