Matthieu Pichot, quels ont été les matchs les plus durs de votre parcours en coupe de France ?
Les premiers matchs : Angoulême, Saint-Lô. On est favori, on se déplace chez un adversaire motivé, on a la pression... Nous avons battu des clubs de Ligue 2 comme Auxerre et Lens, mais le National est un championnat difficile avec des joueurs de valeur. On s’entraîne tous les jours comme les clubs professionnels, donc finalement la différence n’est pas si énorme.
Etes-vous satisfait du tirage des demi-finales ?
C’était notre meilleure chance d’accéder à la finale contre un club de Ligue 1, Caen ou le PSG, au Stade de France. On connaît bien notre futur adversaire, on joue dans le même championnat, on connaît chacun plusieurs joueurs.
Le premier qui marquera...
Freddy Rocher, ce beau parcours en coupe, quelles en ont été les étapes les plus difficiles ?
Les premiers tours sont les plus durs. Il faut bien faire le taf pour ne pas se faire piéger. A Châteauroux, ça s’est joué aux tirs aux buts, il n’y avait pas trop d’écart. Contre Strasbourg, les conditions étaient très compliquées mais on était peut-être plus motivés qu’eux.
Maintenant, vous avez cinquante pour cent de chance d’aller en finale...
C’est sûr que c’est motivant d’envisager de jouer peut-être le PSG au Stade de France. Cette demi-finale contre les Herbiers sera un gros match de National. On les connaît. Ils nous ont battus chez nous et on les a battus chez eux. Celui qui marquera le premier but prendra un gros avantage. Ça ce passe comme ça en National, n’est-ce pas ?
Lire l'intégralité de cette interview croisée dans le Courrier de la Mayenne du 8 mars, actuellement en kiosque.
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