À la mort de son épouse, Henri sombre dans la mélancolie. Rosette, une handicapée mentale, vient l’aider dans son travail.
Avec délicatesse et humanité, Yolande Moreau, qui signe là son deuxième long métrage, filme ces êtres qui ne sont pas comme les autres. Rosette, par sa légèreté et sa fraîcheur, va aider Henri à se reconstruire. Mais il est dommage qu’il y ait tant de longueurs dans un film qui contient, par ailleurs, autant de jolies scènes.
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