Laval. Les Beaux Jours

Elle a à peine soixante ans et Caroline se retrouve à la retraite. Dans un club du troisième âge, elle fait la connaissance de Julien, qui a vingt ans de moins qu’elle.

Après neuf ans de silence, Marion Vernoux revient avec cette œuvre pleine de charme et de délicatesse, qui raconte l’égarement d’une femme de soixante ans. Il ne s’agit pas d’une cougar, mais d’une femme mûre qui a besoin d’être bousculée. Les images sont magnifiques, et l’interprétation est brillante. Fanny Ardant, à la fois lumineuse et artificielle, charmeuse et agaçante, est l’atout majeur de ce beau film.