Pour certains, c'est affiché en clair sur la vitrine. Le bar-restaurant Le Hercé a baissé le rideau en début d'année et de grandes affiches fluos invitent les personnes intéressées par l'emplacement à contacter notaire et autre étude d'un mandataire judiciaire. Confronté à des difficultés financières, son gérant, Jérôme Ratieuville a préféré stopper les frais.
D'autres lancent des bouteilles à la mer, sur Internet et notamment sur le site Le bon coin. « Comme tout commerce, c'est à vendre, reconnaît Jean-Michel Tridon, le gérant de la pizzéria La Basilic. Mais on fonctionne très bien, il n'est pas question de fermer », poursuit-il aussitôt. Si l'ancien propriétaire du bar La Payote rebondirait bien sur un nouveau projet, « il n'est pas question de brader, prévient-il. Si nous n'avons pas d'acheteur, nous continuerons. »
Le gérant de la crêperie Au blé noir, place Clemenceau, souhaiterait lui pouvoir profiter de sa retraite. Il pourrait y prétendre depuis six mois. Mais pour cela, il doit céder son fonds de commerce. En attendant de trouver un repreneur, il continuera à faire fonctionner ses galetières.
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