Le tribunal administratif de Nantes, le 11 avril, a donné tort à la Sotira. L'équimentier automobile, sis à Meslay-du-Maine, refuse de payer depuis mai 2012, les 212 000 euros réclamés par le préfet de l'Ardèche. Cette somme devait être attribuée pour la revitalisation du bassin d'emploi d'Annonay, après la fermeture d'une de ses filiales : la Société de peinture des pièces plastiques (SPPP). 38 postes avaient disparu dans cette commune de 16 000 habitants.
Plus d'informations dans l'édition du 21 avril du Courrier de la Mayenne.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.