Jeudi 20 juin, le maire, Daniel Climent a présidé un conseil municipal plus léger que d'habitude. Parmi les différents objets à l'ordre du jour, les prochaines élections législatives, avec la préparation des permanences des élus au bureau de vote, où il est attendu beaucoup plus de monde que d'habitude. Un planning des permanences pour la salle des fêtes, élaboré et proposé par la première adjointe, Michèle l'Huillier qui devait permettre une couverture pour assurer le suivi des locations de la salle, répondre aux appels des locataires, en cas de problème. Mais cela n'a pas fait l'unanimité et le sujet est à revoir. Le maire a ensuite présenté aux élus les subventions aux associations, après étude en amont par la commission : Association sportive, (AS Neau), 1 000 €. Club de la Jouanne, 400 €. APE, (Association des Parents d'Élèves), 400 €. Association Famille rurale, 700 €. Comité d'animation, 700 €. Centre de secours, 80 €. Gaule voutréenne, 50 €. Amicale des AFN, 40 € et UDAF, 50 €. Soit un total de 3 500 €. "Par ailleurs, ajoute le maire, trois autres demandes incomplètes font l'objet de demandes de renseignements complémentaires avant d'être éventuellement soumis au conseil municipal pour leur attribution. Il s'agit de l'association des 3 soupapes pour l'organisation d'un concours de palets, Raymond Hacques pour une contribution à un rallye-raid au Maroc, et l'association de Famille Rurale pour proposer un feu d'artifice à l'occasion de leurs 20 ans d'existence à Neau." Autre sujet en débat, l'école Pique Prune : la répartition des effectifs l'an prochain et équipe pédagogique en place. "Au niveau de l'équipe enseignante, présente le maire suite au conseil de classe, sur les quatre enseignants actuellement, nous n'en aurons plus que trois à la rentrée. M. Pavé quitte l'école vendredi 5 juillet, après six années parmi nous. L'école perd beaucoup humainement et professionnellement avec ce départ. Deux AESH devraient être en poste à la rentrée pour continuer à suivre les quatre enfants en classe de CPCE1". Autre changement à l'école : l'effectif des élèves passe de 75 à la rentrée à 65. Cette perte de classe entraîne donc un passage des classes de deux à trois niveaux. "Des classes désormais à trois niveaux, déplore le maire, ce qui oblige une adaptation plus forte de la part des enseignants et pour les six CM1 qui navigueront entre les deux classes de CPCE1 et CE2/CM2. Ce n'est pas la meilleure solution mais bel et bien la moins mauvaise car l'intérêt du plus grand nombre des élèves est préservé."
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