Une solide amitié unit ces pirates, autour de leur capitaine. Celui-ci nourrit, depuis des décennies, l’ambition de décrocher le prix du meilleur pirate de l’année. Un jour, alors qu’il s’est lancé à l’abordage d’un bateau, il tombe sur un jeune scientifique du nom de Charles Darwin. Celui-ci découvre, avec stupeur, que la mascotte de l’équipage n’est pas un perroquet, mais un dodo, une espèce d’oiseau (dit aussi « dronte de l’île Maurice ») qui a disparu cent ans auparavant. Il convainc le capitaine de partir pour Londres avec ce specimen.
Quel plaisir de s’embarquer sur un bateau, en compagnie de ces bras cassés de pirates. Avec la voix de Hugh Grant (en version originale), élégante et ironique, ce Capitaine pirate nous entraîne dans des aventures loufoques, parfois décalées, et truffées de clins d’œil. Peter Lord (Wallace & Gromit, Chicken run) et les studios Aardman ont travaillé avec la technique de « stop motion », ce qui signifie qu’ils ont utilisé des personnages de pâte à modeler, animés image par image. Le résultat est un film tout à fait réjouissant, plein de trouvailles visuelles dans les situations, avec une animation très fluide et des personnages pittoresques et cocasses. Les dialogues sont à la hauteur.
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