Pourquoi avez-vous accepté de devenir le porte-parole des Gilets jaunes en Mayenne ?
Nous sommes huit représentants mayennais élus. J’étais en tête de liste parce qu’il en fallait bien un. Je ne fais pas cela pour moi, mais pour les autres. Mon seul objectif est de porter la parole de tous ceux qui n’en peuvent plus.
Pourquoi vous êtes-vous lancé dans ce combat ?
Mon pays va mal, ma Mayenne va mal, donc moi aussi. Je me suis décidé à rejoindre ce mouvement apolitique, asyndical. Il traduit un mal-être. Il y a une fracture sociale, territoriale et surtout politique en France. Nous ne sommes plus écoutés.
Qu’avez-vous pensé des annonces d’Emmanuel Macron, lundi soir ?
J’apprecie son geste, sa main tendue. Après, il nous a fait une petite offre. Un petit pas sur le Smic qui était déjà prévu dans son quinquennat. Nous, ce que nous voulons, c’est être écoutés.
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