Deux couples d’amis apprennent la disparition prochaine d’un de leurs amis.
C’est la troisième fois qu’Alain Resnais adapte Alan Ayckbourn. Il retrouve, en effet, chez cet auteur, l’univers qui est le sien, à la fois cinématographique et théâtral. Devant des décors de théâtre, il déroule son histoire, ponctuée de dessins de Blutch et mêle trois couples qui ne cessent de parler d’un personnage que l’on ne verra jamais. C’est brillant, mais inégal, tant l’ensemble paraît artificiel. Il reste, bien sûr, la performance de comédiens exceptionnels. La scène finale, cependant, serre le cœur des admirateurs de cet immense cinéaste, disparu il y a peu.
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