L’expédition d’Erebor, compromise par l’attaque des Ouargues, trouve refuge dans l’habitat du changeur de peau.
Ce deuxième épisode possède un rythme plus soutenu que le précédent, les morceaux de bravoure s’enchaînant grâce à une réalisation qui s’affranchit de toute loi physique, avec une caméra qui se fait légère et virevoltante, et des décors somptueux. La dernière image, terrible, promet une troisième partie d’exception, que l’on attend avec impatience.
Plus effrayant que l’opus précédent, le film acquiert une belle dimension théologique. La très subtile caractérisation du Nécromancien aborde la question du mal sous un angle religieux totalement en phase avec la pensée de Tolkien.
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