« Un petit désastre écologique », lancera la défense jeudi 24 octobre. Sur le premier point (la pollution), « la société est seigneur, elle reconnaît le dysfonctionnement », explique l’avocat de Célia. Eric Dussous, directeur de l’usine depuis janvier 2007, indique que la pollution découle d’une rupture de canalisation qui achemine l’ammoniaque (produit réfrigérant). Après avoir colmaté la fuite, l’entreprise avait vidangé le circuit d’eau froide. Mais la méconnaissance du réseau de canalisations a trompé Célia. En effet, sur les 3 km de canalisations qui courent sous l’entreprise de 28 hectares, « on a une erreur sur les plans, ce qui a occasionné cette pollution ».
La suite de l'article dans Le Courrier de la Mayenne, actuellement dans les kiosques.
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