Vous faites de la musique depuis plus de 15 ans. Vous vous imaginiez là où vous êtes, quand vous n'étiez qu'un gamin de 13 ans ?
Totalement pas... même après trois ou quatre disques, je n'y croyais toujours pas. La carrière d'un artiste est aussi incertaine que celle d'un sportif. Il suffit d'un seul mauvais disque pour passer à la trappe.
Comment assurez-vous cette longévité ?
Avant tout, en m'entourant des meilleurs. Et puis surtout en ayant toujours deux ans d'avance. C'est une règle que je me suis imposé. Entre l'idée d'un disque et sa sortie dans les bacs, il se passe beaucoup de temps. Il faut être sûr que ce que l'on veut faire plaira toujours deux ans plus tard, lorsqu'il sera proposé au public. Chaque jour, je me bats pour rester dans le futur.
La suite de l'interview dans Le Courrier de la Mayenne, actuellement dans les kiosques
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