Laval. La déroute du Stade lavallois vue par le président Duraincie

Comment expliquez-vous le fiasco de cette saison, avec seulement cinq victoires en 36 matchs ?

En juillet dernier, nous étions loin de penser à cette issue. Nous pensions avoir fait un bon recrutement. Les matchs se sont souvent joués à pas grand-chose. Une quinzaine de fois au moins nous avons mené 1-0. Et c'est très souvent dans les dix dernières minutes que nous nous sommes fait rejoindre, voire dépasser. Il y a eu des moments dans la saison où on est passé à côté. Notre deuxième match contre Niort : On mène 1-0, César Zéoula, seul devant, manque le deuxième but et on se fait égaliser. Contre Sochaux on mène 1-0, et on se fait égaliser à la 91'. On n'a pas le droit. Ça fait déjà quatre points. Et des exemples comme ça, j'en ai d'autres. A Orléans par exemple, où on prend deux buts dans les trois dernières minutes. Une maladresse, un manque de concentration et ça fait but ! Notre saison s'est résumée à ça.

La prestation de vendredi dernier face à Tours, ce n'est pas vraiment un manque de réussite...

Retrouvez la suite de l'entretien dans Le Courrier de la Mayenne du jeudi 11 mai.