«On ne peut pas cautionner cela. Je ne veux pas en être complice », lance Raymond Minzière, président d'honneur de l'Adapei 53. Les révélations sur les salaires de l'ancienne directrice l'ont choqué. Avant son licenciement pour faute grave, contesté aux Prud'hommes, la directrice aurait touché « 9 600 euros par mois », ainsi qu'une prime de 16 000 euros. Deux autres administrateurs témoignent et s'étonnent des décisions prises par le président de l'institution. Le 15 décembre, le président a demandé un vote de confiance. Il a obtenu plus de 85 % des voix.
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