Entre 1914 et 1918, pendant qu'au front les soldats se battent et meurent au cours de sanglantes batailles, la vie des civils à l'arrière s'organise. A Laval comme ailleurs, la population souffre de pénuries, et doit se serrer la ceinture. « La vie quotidienne des Lavallois est profondément chamboulée, raconte Amélie de Sercey-Granger. Pour pallier la pénurie alimentaire qui s'installe, un rationnement est instauré sur des produits de première nécessité, le pain et le sucre notamment. Un système de tickets est mis en place, et le restera jusqu'au printemps 1919. » La municipalité doit alors trouver des moyens pour améliorer le quotidien des Lavallois.
La suite dans Le Courrier de la Mayenne du jeudi 18 août.
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