Dans cette ville sinistre, seul le magasin des suicides est coloré. À l’intérieur se trouvent tous les accessoires pour réussir son suicide.
En adaptant le roman de Jean Teulé, Patrice Leconte s’est souvenu qu’il a été dessinateur dans les années 70. Les dessins du film, qui font penser à ceux de Sylvain Chomet, sont très réussis, et ils constituent le point fort d’une œuvre assez décevante. Car l’humour noir qui traverse l’histoire est rarement drôle, et les chansons, le plus souvent inaudibles, n’apportent pas grand-chose à l’ensemble. Surtout, pour traiter un sujet pareil, il aurait fallu un grain de folie, à la manière d’un Tim Burton, modèle de Patrice Leconte, lequel, malheureusement, en manque cruellement.
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