A ce jour, quinze des 23 communes du pays ont franchi le pas. «Nous avons le souhait d'y aller progressivement, et dans la concertation avec la population. Nous, élus du pays de Meslay/Grez, nous sommes dans l'incitation au non porte à porte, mais la décision d'opter ou non appartient aux communes», explique Michel Cottereau ,vice-président communautaire en charge du pôle "Collecte, traitement et prévention des déchets" .En janvier 2002, suite au transfert de la compétence «déchets» à la communauté de commune, les communes de la Bazouge-de-Chemeré et de Préaux ont opté rapidement pour le passage en tout «Non porte à porte». En avril 2005, des espaces propreté ont été créés dans les 23 communes équipées de conteneurs tri sélectif et semi enterrés. Parallèlement, quatre mini-déchetteries ont été ouvertes à Ballée, Bazougers, Bouère et Villiers-Charlemagne. Début 2006, cinq nouvelles communes (Epineux, Bannes, Le Buret, St Charles, et Le Bignon) ont opté pour le non porte à porte. La même année, une nouvelle déchetterie a été ouverte à Meslay du Maine, en remplacement ce celle existante. En janvier 2015, les communes de Chemeré-le-Roi, Cossé-en-Champagne, St Denis-du-Maine, Beaumont, et la Cropte sont passées au non porte à porte et en juillet dernier les communes de Ruillé-Froid-Fonds, Arquenay et Maisoncelles. «D'autres communes vont aussi emboiter le pas en fin d'année et au cours du premier trimestre 2016», indique Michel Cottereau. Les communes phares que sont Meslay-du-Maine, Villiers-Charlemagne, Grez-en-Bouère n'ont, pour l'heure, pas fait le pas, mais l'élu communautaire se dit confiant, même si la mise en place du non porte à porte est plus complexe à mettre en place, car il y a la nécessité de créer plusieurs points de collecte sur une même commune.Pour l'élu référent, la mise en place du non porte à porte n'est pas une contrainte supplémentaire pour les usagers qui se rendent déjà à l'espace propreté pour le tri sélectif. « Le non porte à porte n'oblige donc pas les habitants du territoire à faire un déplacement supplémentaire », insiste Michel Cottereau .
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.