L'enchaînement est compliqué.
Après Dunkerque, leader, le Stade lavallois reçoit Pau, dauphin, lors de la onzième journée de National 1.
Avec pour objectif une deuxième victoire consécutive, une première en championnat.
« Pau a bien terminé le championnat 2018-2019. Malgré la perte de deux joueurs, l'ossature a été conservée. J'ai vu beaucoup de matchs. Il y a un potentiel offensif intéressant »
Le trio d'attaquants Sabaly, Ba et Gueye a inscrit quatorze des dix-sept buts de la co-meilleure attaque du championnat.
Olivier Frapolli devra se passer d'Antony Robic (genou) et Sandy Nzuzi (talon), qui s'entraînent encore à part. Hakim El Mokeddem et Valentin Belon sont toujours absents. Aliou Dembélé est suspendu tandis que Bira Dembélé va « jouer 90 minutes avec la réserve ».
Un seul jeune, titulaire à Brétignolles, est reconduit dans le groupe pour la première fois en N1 : Wessou Cissé (19 ans).
Enfin une victoire à domicile ?
Les Tango n'ont pas gagné à Francis-Le Basser depuis la réception de Cholet (2-0), le 16 août 2019 (un nul, deux défaites).
« Nous sommes plus performants à l'extérieur en ce moment. Je préférerais que ce soit l'inverse. Nous avons une plus grande responsabilité à domicile, devant nos supporteurs, les bénévoles, les familles des joueurs... »
Brétignolles a servi
Pour le « premier match en coupe de France » de Florian Escales, l'ancien de l'OM aura réalisé un clean-sheet (victoire 3-0).
Une rencontre qui a donné de la confiance à Grégory Gendrey, absent à Dunkerque. « Un buteur qui marque est forcément content. Ce doublé va lui apporter de la confiance », explique O. Frapolli. Avec une seconde titularisation de rang ?
Wilson Isidor à 100%
Dernier arrivé dans le groupe lavallois, Wilson Isidor « ne se sentait pas encore à 100% ».
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C'est chose faite. « J'ai été décisif à Dunkerque et à Brétignolles, je retrouve du feu dans les jambes, j'ai enfin mon appartement. Je vais tout faire pour aider l'équipe à gagner », confie-t-il.
Deux coachs amis
Olivier Frapolli et Bruno Irles se connaissent bien.
Ils ont passé deux ans dans la même promotion pour le brevet d'entraîneur professionnel de football (BEPF).
« On s'appelle souvent, mais le match n'aura pas de saveur particulière. »
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