Voilà quelques jours, Flora a pris sa pause déjeuner dans le quartier Grenoux. Alors qu’elle passe dans la rue Robert-Hardy, un détail l’interpelle. « Il y avait une abeille ou un bourdon atrophié sur la route. Puis deux. Sur 100 mètres de ce quartier résidentiel, j’en ai compté une douzaine. » Étonnée, elle contacte la mairie puis l’association les Abeilles mayennaises.
Selon un de leurs apiculteurs, le nombre d’abeilles mortes à Grenoux n’est pas important. « C’est vrai qu’on n’a pas l’habitude d’en voir sur les bords des routes, on les voit plutôt dans les champs. C’est peut-être quelqu’un qui a traité ses fleurs ou ses salades avec des pesticides. »
La sensibilisation à ne pas utiliser de produits pesticides, c’est le choix qu’a fait la Ville de Laval. « La Ville n’utilise plus de pesticides depuis 2010. Personnellement, je trouve que c’est une décision consciente », témoigne Damiano Macaluso, conseiller délégué aux espaces verts.
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