Au quotidien, ce sont des patrouilles plus intenses dans le centre-ville ou sa périphérie. A pied ou en voiture, les ronde peuvent durer 4h de jour comme de nuit.
Samedi dernier, nous avons accompagné l’adjudant-chef Grossemy, la brigadière Edmond et le réserviste Demarez. Ils ont sillonné les rues et ruelles de Mayenne. L’objectif avéré de ces rondes est tout à la fois préventif et dissuasif. « Cela permet aussi de rassurer la population et de maintenir le dialogue », explique le capitaine Besle.
Les trois gendarmes gardent l’œil tant sur un comportement suspect que sur un emplacement handicapé usurpé. « A trois, ça nous permet d’être vigilant à 360 degrés », précise l’adjudant-chef Grossemy. Accompagné de ses deux collègues, il rentre dans un commerce et entame la conversation avec la gérante. Tandis qu’il s’intéresse aux heures d’ouverture et de fermeture, il reste à l’écoute de la commerçante. Avant de lui souhaiter de bonnes fêtes de fin d’année, il lui rappelle le numéro réflexe pour contacter la gendarmerie : le 17. Martine Galpin, gérante des Viandes du Bocage, apprécie cette visite inopinée. « C’est bien qu’ils passent. Ça me rassure et ça rassure les clients. Je les vois beaucoup. »
Mardi après-midi, c'était au tour de la zone commerciale d'Hyper U d'être placée sous l'oeil vigilant des gendarmes du Psig (Peloton de surveillance et d'intervention générale). « C'est une très bonne chose vu tout ce qui peut se passer, reconnaît Nicolas Mousset, le directeur d'Hyper U. Ça fait plusieurs années que ça dure. »
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.