Elle s’appelle Martha, mais on l’a renommée Marcy May, puis Marlene. Mais, un jour, Martha décide de s’enfuir de la secte où elle vit et se réfugie chez sa sœur.
Le cinéaste a choisi de braquer sa caméra, non sur la secte (dont on ne comprend pas, au début, comment elle fonctionne), mais sur les difficultés de l’héroïne pour sortir de ce piège infernal, tant sa personnalité est éclatée. Avec beaucoup de justesse, le cinéaste a mis en scène une secte qui n’a rien de religieux, mais est d’autant plus redoutable qu’elle repose sur la manipulation mentale. La jeune Elizabeth Olsen, pratiquement de tous les plans, est sensationnelle de fragilité et de souffrance.
Cette dénonciation des ravages provoqués par les sectes montre la violence psychologique que subissent les victimes. Mais elle montre également leur asservissement sexuel.
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