Quelles sont les orientations de cette filialisation* ?
En terme stratégique, on a quatre grandes lignes qui seront déterminées d’ici le 1er juin. La première, c’est de conquérir de nouveaux marchés sur nos marchés stratégiques, le marché industriel. Le secteur industrie, c’est à peu près 22 %. On a des parts de marchés qui restent faibles au regard de la part européenne.
Qu’est-ce-qui manquait pour le faire jusqu’à présent ?
Le nerf de la guerre est toujours autour des prix. C’est pour ça que la filialisation doit nous permettre de contenir nos coûts internes, d’avoir une meilleure vue et d’être plus concurrentiel.
Quand on parle de baisser les coûts, l’ajustement de la masse salariale est un levier. L’utiliserez-vous ?
De ce côté-là, on n’a absolument rien arrêté. C’est trop tôt pour savoir si on va arrêter des machines. La réflexion est plutôt autour des produits et du développement et derrière de voir les impacts que pourrait avoir la mise en place de cette stratégie commerciale et industrielle. Actuellement, nous employons 199 CDI.
Retrouvez l'intégralité de cette interview dans Le Courrier de la Mayenne paru le 7 mars.
* donner le statut de filiale à un secteur d'une entreprise
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