« Il n’est pas facile de mobiliser un public autre que des naturalistes pour nos travaux de science participative. D’où notre idée de toucher des groupes déjà constitués, comme les randonneurs », explique David Quinton, directeur du CPIE Mayenne Bas-Maine. Une convention a donc été signée, pour 10 ans, avec la fédération des randonneurs, en mars 2015. Après avoir identifié un itinéraire, les randonneurs seront sollicités pour effectuer des observations sur un certain nombre d’espèces choisies. L’ensemble des données sera ensuite compilé par le CPIE qui pourra établir les incidences du réchauffement climatique sur les différentes espèces.
Plus d'informations dans l 'édition du 14 juillet du Courrier de la Mayenne.
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