Tout en disséquant un cadavre, le docteur Faust s’interroge sur l’âme.
Avec ce film, Alexander Sokourov achève sa tétralogie sur l’incarnation du pouvoir. Après Hitler, Lénine et Hiro-Hito, c’est au tour de Faust, librement inspiré de Goethe, d’être l’objet de la réflexion du cinéaste. C’est à la fois beau et fascinant, mais aussi difficile et complexe, les intentions du réalisateur n’étant pas faciles à comprendre.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.