Une plaque de contreplaqué masque le trou béant. Des débris de plastique jonchent le sol. Trois jours après l'accident, ces vestiges témoignent de la violence du choc dans le quartier du Gué-d'Orger.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du samedi 23 au dimanche 24 décembre. Peu avant 3h du matin, une Citroën DS 3 venant de la rue du Gué-d'Orger circulait en direction de la route de Saint-Nazaire. Mais à hauteur de la jonction avec la rue de Cossé-le-Vivien, le véhicule est venu s'encastrer dans le mur de l'habitation située dans l'angle. « J'étais dans mon premier sommeil. J'ai entendu un gros boom. J'ai ouvert les volets de ma chambre et j'ai vu l'arrière de la voiture qui dépassait du mur de ma cave », témoigne la propriétaire Elisabeth Pinon.
Choquée, la Lavalloise a été prise d'un malaise et conduite à l'hôpital. Les trois personnes présentes dans la Citroën DS 3 ont dû être désincarcérées. « Ça a pris trois heures aux pompiers pour extraire le passager arrière », ajoute-t-elle. Cependant, aucune blessure grave n'est à déplorer en dehors d'ecchymoses, d'hématomes ou encore de légères fractures.
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