Laval. Littérature : l'interview de Makenzy Orcel

Dans le cadre de votre résidence en Mayenne, quelles sont vos missions ?

La résidence est souvent un appel à projets. Elle donne les moyens à l'auteur de vivre dans la ville et d'en rencontrer ses habitants. Elle permet aussi d'avancer dans son propre projet d'écriture, en étant payé pour ça. C'est intéressant. Avec mon éditeur, Zulma, nous avons proposé ma candidature. Le projet que j'ai soumis se décompose en deux volets : “S'écrire soi-même”, et “Nous sommes tous des mots, il suffit de les écrire”.

 
Comment développez-vous ces thèmes ?

Je rencontre des publics différents : des lecteurs, des écoliers, des malades, des détenus. Je les invite à s'exprimer, je vais les décoincer, les décomplexer, je vais les chercher dans leur intimité. Je leur explique que le cycle de la vie est maintenu par les mots, tout prend sens dans les mots. Ecrire est une façon de s'exprimer, comme crier ou pleurer...

 
Lire l'intégralité de l'interview de Makenzy Orcel Je profite de mon billet dans le Courrier de la Mayenne (en kiosque jusqu'à mercredi).