Deux nichoirs accrochés à la paroi d'un hangar, une mangeoire dans un tilleul, des petits abreuvoirs, autant de petits lieux d'accueil qui attirent les volatiles. Sans oublier le tas de bois pour les insectes qui régalent les hérissons. « On a beaucoup planté des haies, des arbres pour le plaisir d'avoir un verger d'abord, mais aussi pour les oiseaux. On pratique le désherbage manuel. On a revu une chouette chevêche revenir dans les émousses », relate avec satisfaction Patrick et Michèle Derouin, 100e refuge LPO en Mayenne. Lire le portrait dans l'édition du Courrier de la Mayenne du 24 septembre.
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