Sur le parquet d'Hilard, l'USL démarre dans de bonnes dispositions, avec un shoot à trois points de William Meignan. Mais le coach lavallois, Sébastien Cartier, a annoncé une saison compliquée. En effet, l'adversaire prend le dessus (5-11 à la 6'). Mais les locaux allongent leur jeu sur les extérieurs, ce qui s'avère payant (13-14, puis 17-14 à la 9'). C'est parti, avec l'entrée en jeu de la nouvelle recrue du milieu de semaine Miroslav Radenkovic (2,04 m) et le capitaine Jérémy Nicolas qui forgent une avance au terme du premier quart-temps (23-16).
Un groupe qui se connaît
Un indéniable atout pour l'USL, c'est d'avoir un vrai cinq sur le banc. Et les Normands en font les frais. Laval mêne de 21 points à la pause, en s'étant fait voler trois points par la table. L'autre atout de cette formation lavalloise bien préparée, c'est que le groupe se connaît bien puisque seules trois recrues sont arrivées à l'intersaison. Laval remet dix points à son adversaire dans le troisième quart-temps. L'adresse était aussi au rendez-vous ce samedi soir, permettant de combler les quelques temps faibles, et les compte bizarres (encore trois points venus d'on ne sait où pour les Normands) de la table de marque.
L'USL ouvre sa saison en N2 par un score de 94 à 67 (23-16, 26-15, 24-14, 21-22), avec la manière.
« Si on garde cet état d'esprit... »
Sébastien Cartier ne s'emballait pas sur ce premier résultat d'une longue saison, mais était fier de son groupe. « La semaine a été compliquée avec un départ, une arrivée, et plusieurs blessés au dos et aux chevilles. Je ne m'attendais pas à un match aussi abouti, aussi bien en attaque qu'en défense. On n'a rien lâché. Si on reste dans cet était d'esprit, on peut espérer voir des choses intéressantes ».
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