Dans la prison des Baumettes, à Marseille.
Connu pour Nous Princesses de Clèves, qui montrait des jeunes de quartiers sensibles confrontés à un chef-d’œuvre, Régis Sauder a planté sa caméra dans le service psychiatrique d’une prison. Ne pouvant filmer les prisonniers (que l’on entend, cependant), il filme le personnel soignant. Passionnant et bouleversant !
Régis Sauder précise que « ce n’est pas un film sur la folie, mais sur la dignité de l’homme souffrant et sur celui ou celle qui lui tend la main et l’accompagne ». C’est ce que montre avec beaucoup de respect ce film poignant.
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