Saint-Berthevin. Chez SOA Laval, la sécurité est l'affaire de tous

Publi-reportage

« La sécurité est LA priorité de notre agence, mais aussi celle de tout le réseau SARP Centre Ouest (groupe Véolia) dont SOA fait partie, souligne Marie-Jeanne Habasque, directrice de l’agence SOA de Saint-Berthevin. “Préserver la santé, la sécurité de nos salariés et des tiers” est la recommandation numéro un du groupe. D’ailleurs, nombre d’agences ont dépassé les 1 000 jours sans accident de travail. » Une performance d’autant plus méritoire que les risques sont nombreux pour les techniciens dont les domaines d’intervention concernent la vidange de fosses septiques, l’enlèvement et le découpage de cuves à fioul, le débouchage de canalisations, mais aussi l’aspiration de pulvérulents, la récupération et le traitement de déchets dangereux, le nettoyage de séparateurs à hydrocarbures, de postes de relevage, de réservoirs, de château d’eau, etc.

« Les premiers risques lors d’une intervention sont la chute de plain-pied ou l’accident de la route – comme dans beaucoup de métiers. Puis, énumère Julien Renvoisé, chargé d’affaires pour l’agence mayennaise, viennent des risques plus spécifiques à notre activité, comme l’asphyxie ou l’intoxication, lorsque le technicien se trouve en milieu confiné et qu’il est confronté au sulfure d’hydrogène (H2S) ; les risques chimiques, avec la présence de produits corrosifs, ou encore les risques d’explosion dans les zones ATEX, quand on travaille sur des matières volatiles comme les pulvérulents. »

« La formation aux risques représente un gros budget »

Pour prévenir ces risques, la formation des techniciens – « ceux qui sont en première ligne », aime rappeler Marie-Jeanne Habasque – revêt une importance toute particulière. « La formation CATEC (pour les espaces confinés) est une formation réglementaire, comme celle pour le travail en hauteur ou en présence de produits chimiques. Mais à cela, le réseau SARP apporte une formation supplémentaire donnée par des formateurs métiers internes au groupe, complète Julien Renvoisé. La formation aux risques représente un gros budget. » Avant d’intervenir seul, chaque nouvel arrivant travaille durant six mois auprès d’un tuteur. De même, si un technicien prend de l’âge ou est fatigué durant une période, il se verra affecté à des chantiers moins contraignants physiquement ou travaillera en doublure. « Ce sont des métiers fatigants, note la dirigeante, mais nous sommes une petite équipe soudée, à l’écoute de chacun. C’est ce qui fait notre force. »

Une étape cruciale : la préparation des chantiers

La préparation des chantiers est une étape cruciale afin qu’il n’y ait pas de mauvaises surprises. « Si malgré tout il y en a, le technicien doit prévenir – c’est le règlement – pour savoir ce qu’il est possible de faire. Et si c’est trop dangereux, c’est le retrait de chantier », explique le chargé d’affaires. Toute intervention en « mode dégradé » fait l’objet d’une discussion avec le client afin d’améliorer la situation pour l’intervention suivante. Mais il est à noter que les clients eux-mêmes sont extrêmement sensibles au soin apporté par l’agence à la sécurité de chacun.

« Voilà de nombreuses années que je travaille avec SOA, témoigne Pauline Girard, responsable qualité sécurité environnement chez TDV Industries. […] La sécurité est notre priorité lors de chaque intervention. Nous évaluons les risques ensemble. […] Ce partenariat et cette confiance nous permettent de travailler de manière durable. » Même appréciation positive pour Martine Couanne, spécialiste environnement chez Bel à Évron, société pour laquelle interviennent très régulièrement les techniciens de SOA, et ce depuis des années : « Nous sommes satisfaits de leurs excellents résultats en termes de sécurité. […] Nous partageons les mêmes objectifs de placer la sécurité des travailleurs au cœur de nos métiers et de nos activités », met-elle en avant. Et cette satisfaction contribue à la bonne ambiance qui règne au sein de l’agence de Saint-Berthevin. « Des départs à la retraite se profilent et nous sommes prêts pour les futurs recrutement », conclut dans un sourire Marie-Jeanne Habasque.