Après une explosion sur le site de Grez-en-Bouère en octobre dernier, Aprochim, la filiale du groupe Chimirec, avait vu une partie de son activité suspendue. Après un rapport d’expertise et des nouvelles mesures de sécurité à appliquer, l'entreprise est de nouveau autorisée à reprendre son activité. Mais, partiellement.
Une reprise partielle et sous surveillance. Car, les dernières analyses, datant de décembre, font état d’une pollution « six fois supérieure à la norme » sur un nouveau point de contrôle au pied du site. « A 400 mètres autour, les résultats sont en dessous de la norme », tempère Laurent Leralle, chef d’unité départementale de la Dreal (Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement).
L’entreprise de Grez-en-Bouère, employant encore 35 personnes, doit tout de même suivre des prérogatives de l’Etat, afin de se mettre en conformité. Une visite des services de l’Etat est prévue le 6 avril, pour vérifier si tout a été réalisé dans les règles.
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