10 000 euros de dommages et intérêts, 3 000 euros de frais de justice et un encart dans la presse. C’est ce que la société Aprochim, spécialisée dans le traitement des déchets contaminés aux PCB, demande à l’élu écologiste Claude Gourvil en guise de réparation. L’entreprise reproche à celui qui était candidat aux élections législatives en juin dernier d’avoir tenu des propos diffamatoires à son égard. L’écologiste avait écrit une tribune dans l’hebdomadaire "Le Haut-Anjou". Il y indiquait son point de vue sur Aprochim, au cœur d’une polémique nationale suite à une sombre histoire de pollution.
La suite de l'article dans le Courrier de la Mayenne, actuellement dans les kiosques
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